Records Reviews












 





 11 LOVE SONGS, 12"and CD, 11 tracks.
Kythibong, Oct 2016

Buy it !


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Rock and Folk
Dig It !
France Inter
Foutraque.com 
Madafka
Cafzik
David Snug 
Rockurlife
Tohu Bohu
Muzzart
Longueur d'Ondes

CoreAndCo


Les oreilles curieuses

Perte et Fracas
L'Hirsute
Boucha'zoreille
Tv Vendée (15'30)






SINGING MEDICINE, Tape, 4 tracks, 
Schmalzgrub Audiokassetten  Dec 2015
A side: High when I die (Magnetix cover) - Some Chemicals (Birds Are Alive cover)
B side: Hospital - I wanna drive your body.
 -BUY IT -  


 CHRONIQUES : 

"[...] ses collègues Vagina Town lui rendent hommage en revisitant "Some Chemicals" sur leur K7 dédiée à la dope et aux hopitaux, Singing Medicine. Ils font aussi un sort au "High when I die" des Magnetix et complètent l'ordonnance avec deux virées crampsiennes de 2011. Garage groovy, barré et virulent, plus quelques minutes de bruit gratuit...Merci docteur. "
DIG IT, Juin 2016 

"Non, les américains n’ont pas l’exclusivité des labels cassettes, SCHMALZGRUB AUDIOKASSETTEN (NDLR : Bien content que cette chronique soit écrite et non radiophonique !) est originaire de Nantes, tout comme les VAGINA TOWN d’ailleurs. Il s’en est cassé des cordes et perdus des médiators, depuis la création des VAGINA TOWN. En duo à leur début, ils évoluent dorénavant sous forme de quatuor, plus on est de fous, plus on crie ! Cette cassette comporte quatre titres, sur la Face A on peut y entendre deux cover. Une des MANETIX (« High when i die ») et une autre de BIRDS ARE ALIVE (« Some chemicals »), tandis que sur la Face B, les deux compos ont été enregistrées en 2011. A cette époque, il me semble que VAGINA TOWN, sévissait en trio. Si il s’agit de médecine ici (« Singing medecine »), ne vous attendez pas à ce qu’elle soit douce, il n’est pas question d’homéopathie, mais bien d’électrochoc. L’introduction façon mur du son saturé, s’acoquine avec un « beat » de batterie qui vous fera onduler du « valseur » tout en vous martelant le coccyx. C’est parti pour une bonne dose de Garage Rock avec des intonations Soul introduites par le clavier et les chœurs qui vous gueulent à l’oreille « High when i die !». Une guitare bien « fuzzée » (NDLR : si, si, l’adjectif « fuzzé » existe !) qui vous râpe la glotte. Si vous pensez vous remettre de vos émotions entre les deux titres, c’est loupé car l’intermède mur du son va plutôt vous en remettre une seconde couche avant de vous balancer « Some chemicals » dans la face (ou la fesse, vous avez le choix). Là aussi le Rock est « pouissssant », la guitare hargneuse, quand il le faut, et toujours ce côté Soul Rock qui vous agrippe pour vous entraîner dans une danse où vous ressortirez échevelé et fourbu. On reprend, un peu, ses esprits car il faut retourner la cassette. Les VAGINA TOWN, ont toujours revendiqué l’influence des CRAMPS, la preuve en est faites une fois de plus avec « Hospital ». Nous restons dans le registre du Garage ou même du sous-sol, de la cave sale et humide, avec l’utilisation du Tom Basse (NDLR : CRAMPS oblige !) et un son de clavier qui n’a rien à envier aux bombardiers des B52’s. « I wanna drive your body », encore une fois il ne s’agit pas d’une conduite « à la papa », mais bien d’un rodéo où la grosse caisse n’a pas l’intention de tenir la chandelle. Si vous êtes suffisamment en forme pour résister à tous ces assauts, le break avec le solo de guitare qui se termine en tsunami, vous mettra sur les genoux. Les VAGINA TOWN sont au Garage Rock ce que LES PRINCES DU ROCK (NDLR : chroniques dans nos colonnes) sont au Rock 70’s. Et l’on me dit dans mon oreillette qu’un nouvel album verrait le jour en Octobre prochain. Aura-t-on la force de patienter jusque-là ? L’abstinence n’est pas du goût de tout le monde…"
L'Hirsute, Juin 2016

"[...] Après un maxi (sur Kizmiaz justement), et un EP sur Kythibong, ce groupe de Nantes poursuit son exploration des tréfonds du garage psyché-punk et dévoile quatre nouveaux morceaux dont deux reprises (Magetix et Birds Are Alive) entre sauvagerie trash et echapées psychédéliques. Comme des Cramps ayant un peu trop forcé sur les substances hallucinogènes. Et c'est bon. "
Rock Hardi 





 












  

ECSTASY. 7", 2 tracks
Kythibong, Sep 14
A Side : Ecstasy
B Side : Comedown

- BUY IT -

CHRONIQUES:

"Auteurs d'un E.P. remarquable il y a quelques années, Vagina Town franchit un pallier avec cet excellent single. A la face A rock n' roll et accrocheuse ("Ecstasy") répond une face B sombre et angoissante ("Comedown"). Un groupe à suivre"
Rock et Folk, Dec 2014

"On est tombés sur ce groupe de garage punk, un trio composé de deux femmes et un homme (sic, 2 en fait), après l'avoir vu retourner quelques cafés concerts miteux par l’énergie de son chanteur-guitariste en redingote et aux yeux maquillés. Il doit autant à Nick Cave qu'à Iggy et la scène est son territoire. Vagina Town renvoie aux Cramps de la grande époque psychobilly. Le groupe propose à la fois des titres de pur rock n' roll (Ecstasy) et d'autres plus rampants et psychédéliques comme ce retour de trip que décrit Countdown."
Magic, Mars 2015

'"Il y a quelques années déjà, on se prenait en pleine face le rock de Vagina Town. Un tourbillon qui dévastait tout sur son passage et se posait en digne successeur des Cramps. Depuis, le groupe nantais s'est étoffé, avec une batterie et un clavier qui s'invitent aujourd'hui à la fête. Vagina Town n'a, au passage, rien perdu de son goût pour le soufre, mais l'orgie sonore prend maintenant des tournures à la fois plus pop et psyché. À l'image du dernier disque, le bien nommé Ecstasy, fraîchement sorti sur le label nantais Kythibong."
Ouest France 


"Du garage punk de haute tenue sur une face ("Ecstasy"), du garage psyché punk sur l'autre ("Comedown"), par des nantais qui ne confondent pas psychédélisme et rock progressif. Si les Cramps avaient utilisé un orgue, ils auraient sans doute sonné comme Vagina Town. Du bon boulot"
Dig it !

"Sorti chez Kythibong records, ce Ecstasy, à la pochette pour le moins suggestive, est le nouveau 7" des nantais de Vagina Town.  Des nantais qui ont de la suite dans les idées puisqu'ils avaient déjà offert un EP chez Kizmiaz Records sous le titre LSD et avec une pochette tout aussi expressive.
Le morceau-titre est un titre rock and roll à l'ancienne, énergique et entêtant, porté par un orgue incendiaire, le genre de titre certes basique mais qui donne envie de battre furieusement la mesure.
En face B, "Comedown" prend le contre pied d'"Ecstasy", un titre à tiroirs, plus psychédélique, plus heavy aussi, qui s'étire sur plus de cinq minutes. Un titre maîtrisé à la perfection par le groupe.
Un 7" d'une efficacité redoutable. On adhère !"
Raw Power Magazine


"Mazette, diantre, fichtre, saperlipopette! Le label Kythibong nous "ressort" un groupe de furieux (et furieuses), venu de Nantes, en la personne de Vagina Town, quatuor se substituant au duo de départ, qui accouche avec Ecstasy (alors là bravo, pour une fois, ses effets sont fastes!) de deux titres garage entre style et folie, juste parfaits et fleurant bon les 70's aussi heavy que psychédéliques.
Ecstasy ouvre le bal avec force claviers loquaces, guitares qui "déchirent leur race"  et chant à l'avenant, masculin et féminin, ce qui apporte un plus indéniable. Ca joue pieds au plancher, ça joue aussi bien et sans s'embarrasser de fioritures, l'ouverture est directe et magistrale. Le genre de titre qu'on se passe et repasse compulsivement tant son énergie met le feu.
La durée du disque étant malheureusement limitée, le deuxième et dernier titre fait dans un psychédélisme d'abord assez serein puis plus offensif, fuzzé, entre impact et embardées soniques impulsées par les claviers (Comedown). Démentiel, le morceau est exécuté avec talent, offre cinq minutes de bonheur et d'échappée auditive jouissive. Les deux plages livrées mettant donc en avant un groupe d'ores et déjà incontournable de notre scène, dont on attend donc logiquement des sorties plus conséquentes."
Will Dum, Muzzart


"With a band name like Vagina Town, you might expect some basic, frenetic punk rock would be on the menu, but this is so much better than that.
A 7″ single via the Kythibong label delivers the freneticism all right, but allied to a sharp ear for rhythm and melody that recalls classic garage sleaze, rockabilly rebels and a touch of the Cramps. Perhaps it is the time of the month…"
The Mad Mackerel


"Dernière signature de l’irréprochable label Kythibong, Vagina Town sort en 2011 son premier EP rempli de sauvagerie punk chez Kizmiaz Records (King Automatic, Thee Verduns…). Le groupe est alors un duo composé de Jérémie (guitare/chant) et de Mélissa (basse/chant). Depuis, le groupe est devenu quatuor avec l’arrivée de Jérémie à la batterie et de Rachel aux claviers. Vagina Town tire son nom de la série Californication. Mais ici rien à voir, avec les  histoires de ces nantis californiens. Vagina Town sent plutôt les histoires de mœurs un peu louches et interlopes. Les différents artworks ne mentent pas. Vagina Town c’est tout simplement Sex, Drug and Punk’n’Roll. C’est cliché de dire ça mais c’est la réalité. On est loin des nombreux groupes aseptisés que l’on nous offre en pâture à longueur de journée. La formation ressemble à une réunion libidineuse entre les Cramps et The Jim Jones Revue. C’est un son direct et énergique. Toujours tendu entre rock ‘n’ roll distordu et garage rock. Ecstasy est un pur moment de rock’n’roll joué par les Ramones. Plus psychédélique, mais toujours aussi garage dans le traitement, le second titre Comedown est une longue descente lysergique dans la déchéance. Dépravés et dévergondés comme pas deux, ces deux titres possèdent, que vous le vouliez ou non, un certain luxe intérieur."
Electrophone


Où il est question d'extase, de ta mère qui se touche, de rodéo et d'orgasme...  

J'ai 8 secondes pour vous dire que les volcaniques Vagina Town sont de retour avec un nouvel EP intitulé Ecstasy. J'ai goûté, c'est de la bonne... 

Depuis la dernière fois, Vagina Town a vu sa population augmenter. Mais, de la cover à l'esthétique seventies - la fille qui se touche sur la photo, ça pourrait être ta mère ! - à la musique qui ferait se dresser un paraplégique, le désormais quatuor n'a rien perdu de sa superbe. Bien au contraire. 

Ecstasy est une petite bombe heavy-psyché qui démarre à tombeau ouvert et te fait l'amour sans préliminaires pendant 3 minutes et des poussières. En selle, l'ami, c'est un rodéo de guitares, de claviers et de voix emmêlées qui s'offre à toi.   

Comedown est une fusée à deux étages. Ça démarre sereinement, lascivement : un mouvement presque imperceptible entre les couvertures puis, à mesure que le morceau avance, la respiration se fait de plus en plus pressante, l'orgasme devient imminent, la tension est à son paroxysme.

La bonne nouvelle, c'est que Vagina Town carbure toujours à la même énergie libidineuse mais, en restant toujours aussi indomptables, les Nantais font désormais preuve d'un sens de la mélodie beaucoup plus aiguisé que sur leurs précédents essais, ce qui ne manquera pas d'attirer à eux de nouveaux adeptes.

J'ai tout lu tout vu tout bu


Alla fine il proto-punk cos’è? Un orgia tra il rock’n’roll più incazzato e il rhythm’n’blues/garage più primitivo, ed è così che si presenta Ecstasy, la prima canzone scelta come faccia A del  nuovo 7″ dei Vagina Town, band francese, di Nantes per la precisione, che già pestò i piccoli palchi italiani tempo fa.
C’è tutto quello che ci dev’essere : farfisone a mille, chitarra aggressiva e cori impeccabili; poi si passa alla seconda facciata del disco, Comedown, che ci trascina giù, dentro un vortice di blues acido, fatto di chitarra e farfisa che amoreggiano tra loro, ma anche la batteria vuole la sua parte, rendendo il tutto un garage blues bello ipnotico, (con vaghi ricordi di “Desert Session”), le voci quasi spettrali irrompono per poi lasciare spazio ad una conclusione degna di una colonna sonora da sci-fi americano anni 60.
Il disco uscirà per la Kythibong Records il 29 settembre !
In your eyes ezine


"In all probability the notorious, legendary and cultic psycho rock and roll band The Cramps made huge impact on Vagina Town. Just their music is spiced with 60′s psychedelic beats (a la Question Mark & The Mysterians) and noise rock. The French band has taken its name from a porn movie. And the titles of their releases are also meaningful: “LSD”, “Hospital”, and the brand new one: “Ecstasy”  ".
rnr666.hu


"I Vagina Town con Ecstasy – Comedown, il loro terzo breve EP, fanno un deciso tuffo nel passato. Più precisamente un brillante ritorno ad alcune sonorità british rock anni settanta.

La band francese prende i suoni “al di là della Manica”, li porta a Nantes e li fa propri. Rispolvera certe frizzanti attitudini rock pure e genuine, dandogli allo stesso tempo una struttura nuova, più contemporanea.  [...]

Semplice ma originale e molto incisivo, i Vagina Town si impongono con forza sullo scenario indie rock internazionale. Un gruppo che ha molto da dire e che sicuramente già sa come accalappiare il pubblico nel vortice della sua impetuosa musica. Qualcosa di diverso e di interessante nell’ambito brit rock (o forse dovremmo chiamarlo french rock per l’occasione?). Una band che ha trovato già una sua dimensione nonostante sia ancora agli inizi.

Una pesante ruvidezza mista ad un’allegria psichedelica e a tanto entusiasmo, il retrò che assume una forma più innovativa. Questa è la ricetta segreta dei Vagina Town. [...]"
read the entire review of :  RockShock


"Avec un nom et une pochette pareils, on est en droit de se demander ce qu’il va bien pouvoir se passer [...] "
read the entire review of : Indiemusic

" Jamais la mention  Sex, drugs & rock n’roll  n’aura aussi bien collé qu’au garage rock crépusculaire de Vagina Town. Ecstasy, le nouveau 2 titres des nantais et son artwork le plus sensuel de l’année, vient confirmer et poursuivre son expérimentation musicale des drogues fortes, [...] "
read the entire review of : Tohu Bohu 

"Volupté, psyché, sensualité, son… saturé ! Vaginatown c’est un peu comme une soirée parfaite : une agréable odeur d’alcool, un concert de folie franchement rock’n roll, une belle nuit d’amour, et le tout sans gueule de bois. De retour en ce début d’année avec un EP taillé comme un mannequin néérlandais, les nantais font très fort et marquent le coup avec une écriture fine, un son acéré et malsain, et une agréable senteur psychédélique attestant de la teneur du nom de l’enfant (Ecstasy – Kythibong, 2014)"  Zinor.fr








LSD. EP 12", 4 tracks. Kizmiaz Records. Mars 11.
A SIDE:
Birds ! Birds ! Birds !
Trophy Head
B SIDE:
L.S.D.
The Swamp









CHRONIQUES:



"Vagina Town, c'est le nom d'un film pornographique des années 90. C'est aussi le nom dune contrée moite et torride fondée en 2009. Un trou obscur dans lequel vous prendrez plaisir à vous perdre. Sexy, volcanique et sulfureux, le garage-punk salace proposé par le désormais trio nantais - le couple initial a depuis accouché d'un batteur - ravira aussi bien les branleurs que les menteurs. Loin des rockeurs aseptisés pour pubs de cosmétiques, Vagina Town pratique une esthétique de l'excès et de la démesure. Un joyeux bordel qui puise ses inspirations chez les Cramps ou Suicide. Autant dire que ça envoie du bois, et que ça s'avère tout à la fois toxique, hallucinatoire et addictif. Leur premier EP, LSD, est une irrésistible machine à tubes. Les prophètes imbéciles qui annonçaient la mort du rock peuvent aller se rhabiller. Voilà de quoi vous réchauffer les écoutilles pendant les longues soirées d'hiver. Les vierges effarouchées vont hurler, les grands-mères vont danser le twist au risque de se déboiter le coccyx et les tenants de la bonne morale chrétienne vont avaler leurs hosties de travers. Pour la petite histoire, le titre éponyme de leur LP s'inspire de la théorie de l'intoxication volontaire par la CIA de la ville de Pont Saint-Esprit. Souvenez-vous, on en avait parlé ici (cf J'ai lu : Tous les Diamants du Ciel - Claro). Je ne sais pas si les membres du groupe ont lu le livre de Claro mais ça aurait fait une sacrée putain de bande-son. Quoi qu'il en soit, 2013, année de la baise, marquera, je vous l'annonce, le renouveau du rock à guitares. Ca pourrait bien être l'année de Vagina Town..." 
Cédric Quéniart, J'aitoutvutoutlutoutbu , Jan 13.
Chronique intégrale ici
Interview ici


"Quelque chose nous dit que si on cherche dans les disques de chevets de Vaginatown , on devrait trouver quelques albums des Cramps, de Devo et de Suicide.
Parce que leur très beau (quelle pochette !) nouvel E.P. vinyle fait s'accoupler à la perfection le voodoo punk des premiers , la pop mongoloide des seconds et le blues synthétique des derniers . Autant dire que les nantais auraient des choses à partager avec les Montpelliérains de 69 (ex Sloy) . Ces quatre titres garage-indus-no wave (et pourquoi pas ? ) vous rentrent dans le lard dans les règles de l'art -et réciproquement- sans même se retourner pour voir si vous vous relevez . Une bonne sortie de plus à attribuer au label nantais Kizmiaz Records auquel on va finir par se fier les yeux fermés . Mais les oreilles grandes ouvertes ."
Kalcha, Tohu Bohu , Eté 2011 .


"What starts out as Crystal Castles meats Rock Horror Picture Show develops into a fully flushed goth-surf parade. Without skipping on intensity, Vagina Town (yep), actually holds their melodies together to present a nice two track, introducing the band."
Big Boss, Dingusonmusic


"Il y avait Lux Interior et Poison Ivy : il y a désormais Nikki Larsen et Gina Tsunami. Issus des cendres fumantes et déviantes du regretté squat herblinois Le Fouloir, ces enfants putatifs de The Cramps et de Suicide accouchent aujourd'hui de leur premier rejeton, LSD. Les quatre titres de cet EP balancent un rockabilly psychotique et mutant, torpillé de sons électroniques à la Metal Urbain et soutenu par des boîtes à rythmes épileptiques. Avec des géniteurs qui répondent au délicat patronyme de Vaginatown, il ne fallait pas en attendre moins. Nikki Larsen hulule plus qu'il ne chante, mais il faut lui pardonner : à l'entendre, on comprend qu'il a vu le diable en personne, ou qu'il est sous l'influence du fluide sexuel de sa compagne Gina Tsunami. Vous aimez mater Californication, surfer sur Youporn, draguer sur Meetic et écumer les sex-shops, le disque de Vaginatown est la bande-son idéale de vos hobbies favoris !"
Lionel Delamotte, Pulsomatic n°145 ,avril 2011


"Et comme les gens de Baisemoncu Rds sont plutôt ouverts (n'y voyez aucune allusion, aucune ! ), ils sortent aussi un mini album au format maxi de VAGINATOWN , euh.... Duo fille garçon de Nantes qui fait dans le garage cradoque. Du Suicide post atomique ("Birds Birds Birds") , Johnny Moped sur une boite à rythme ("For a Girl"), les Cramps qui jamment avec Crisis ("LSD") , les Rock n' Roll Soldiers en roi du disco ("Trophy Head") et pour finir les Kids qui rencontrent Chuck Berry dans la cave de Dr Mix & the Remix... Tout un programme savamment mis en scène par le couple , sans violons ni trompettes, mais à coup de parpaings numériques et de fuzz... Bon passons sur les 16mn de bruit à la fin ....Qu'on ne trouve d'ailleurs pas sur la version vinyle maxi Lp...Tout comme le morceau "For a Girl"... Belle pochette en revanche !"
DIG IT ! n° 51 (mars 2011)


"Garage Punk bricolo meets Electro Clash ?
Ce duo mixte, mixe instruments et sons venant (apparemment) d’ordinateur. Le tout sonnant rétro, et surtout CRU.
On pense au Dum Dum Boys ou à certains trucs solos d’Alan Vega. Le garçon et la fille se partagent le chant sur la chanson inaugurale qui est un véritable tube. A l’instar de celle qui clôture ce mini 4 titres. Et comme la troisième est très bonne aussi… Comme est bonne la découverte de ces Vagina Town (superbe nom, non ?), mélodique, tubesque même, ET bruitiste."
RockinNice.